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Deuxième session du cycle de formation GPU – AFDESRI (octobre 2018)

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Séance du 19 octobre 2019

L’ESR dans tous ses états

La séance de formation pour les femmes de l’ESRI en Ile-De-France, organisé conjointement par l’AFDESRI et les universités du grand Paris (GPU) s’est tenue le 19 octobre sur le thème :

L’ESR dans tous ses états : Un tour d’horizon sur l’ESR en France et en Europe

L’ensemble de la séance de formation à était animé par : Simone Bonnafous, Jean Bouvier d’Yvoire et Marie-Hélène Granier-Fauquert et présenté par Philippe Tchamitchian.

Durant cette matinée de formation Simone Bonnafous et Marie-Hélène Granier-Fauquert ont présenté leurs parcours en tant que femmes dirigeantes et ont animé des échanges sur les thèmes suivants :

  • La refondation des universités en Europe au 19ème siècle et les différents « modèles » d’université qui constituent notre héritage européen
  • Réflexion collective sur les transformations de l’ESR que nous vivons et constatons aujourd’hui en France
  • Les grandes problématiques internationales « cœur de métier »
  • Dans la perspective des prochaines séances du séminaire

en formation : transformation de la façon dont on étudie et enseigne

en recherche : transformation de la façon dont on fait de la recherche

  • Les transformations de l’action territoriale dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche et la mise en réseau des acteurs

Lors de cette séance de formation, les participantes ont exprimé leur intérêt à l’écoute des témoignages. Les ateliers organisés au cours de la matinée ont été très appréciés. Ils ont permis des échanges  entre les participantes et les intervenantes rendant la matinée vivante et dynamique.

Témoignages de deux participantes

“Je tenais à vous remercier pour cette première séance du séminaire de l'AFDESRI.

L'ensemble de la matinée a été très intéressant. J'ai tout particulièrement apprécié les témoignages des deux intervenantes retraçant leurs parcours et les questions soulevées concernant la légitimité, le leadership, l'élection vs la nomination/le fait de se voir proposer une mission.
J'ai également trouvé très utile, et ce, pour tout le monde, l'historique international et la mise en perspective qui découlait de ce propos.
Enfin, j'ai énormément apprécié l'exercice de haut vol de synthèse et d'analyse des post-it auquel les trois intervenants se sont prêtés. C'était passionnant et très vivant, dynamique. Le lien effectué avec un ou deux documents de la bibliographie était également très utile.
Cette matinée m'a beaucoup apporté et je tenais à vous en remercier. Je remercie aussi les organisateurs pour tous les aspects organisationnels et le déjeuner.”

FrançoiseParticipante

“En tout premier lieu un très grand merci pour la qualité de la formation de vendredi, c'est rare que je ne m'ennuie pas en formation et là je n'ai pas vu la matinée passer : tout était intéressant, les sujets équilibrés et variés, les temps d'échange bien présents. Je crois que j'y aurais passé la journée sans problème – pour un peu plus d'échanges encore. L'idée de faire des séquences en petits groupes est précieuse, à renouveler absolument même si le format demie journée rend l'organisation d'ateliers pas très simple en effet. Le déjeuner ensemble est très précieux aussi.
Pour info, ça m'a beaucoup frappée le fait que les deux intervenantes aient senti, vécu, ce schéma « femme = enseignante », c'est un réflexe social encore bien présent, j'ai beau être un peu plus jeune, mes parents me voyaient bien enseignante eux aussi, et j'entends pas mal d'amies qui me racontent la même chose, dans ce schéma de jeune fille bonne à l'école = enseignante (agrégée, évidemment) pendant que jeune homme bon à l'école = ingénieur ou patron....Il ne faut vraiment rien lâcher là-dessus ! ...) ”

LaureParticipante

Quand les candidatures féminines ne manquent pas…

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Il y a quelques semaines, l’Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR) lançait un appel à candidature pour un poste de « chef de groupe». Cette fonction suscite habituellement peu de candidatures, conduisant sans doute parfois le chef de service de l’IGAENR à solliciter la personne qu’il souhaite associer au comité de direction. En tous cas, très rares sont les candidatures de femmes.

Cette fois-ci, à la surprise de tous, de nombreuses femmes inspectrices générales de première classe (donc a priori déjà reconnues comme compétentes) se portent candidates… C’est pourtant la candidature d’un homme qui est retenue : compétent, s’intégrant « harmonieusement » à l’équipe de direction, ayant déjà pris des responsabilités de coordonnateur, il faisait déjà presque partie de l’équipe de direction… une candidature presque « naturelle », donc!

Dans ce contexte, où l’on ne peut pourtant déplorer ni le manque de candidatures féminines de qualité, ni l’absence de vivier, les candidates, inspectrices sénior, échangent entre elles et avec d’autres inspectrices plus jeunes et manifestent leur « étonnement ». Les deux inspectrices générales qui sont aussi membres de l’AFDESRI, écrivent même au chef de service pour souligner qu’avec 2 femmes sur 9 dans l’équipe de direction de l’IGAENR, cette dernière est loin de satisfaire aux exigences du label « égalité professionnelle entre femmes et hommes » auquel candidatent les ministères de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.

Certes, la parité à l’IGAENR se mesure globalement et pas seulement au nombre de femmes dans l’équipe de direction : la place des inspectrices générales, qui partait de très bas, a d’ailleurs progressé ces toutes dernières années, dans les promotions ou par le jeu des mobilités vers des fonctions comme celle de présidente du CNOUS[i]ou celles de rectrice[ii].

Mais il reste encore du chemin à parcourir pour que l’IGAENR soit un modèle dans la mise en œuvre d’une politique publique qu’elle est censée promouvoir dans les établissements d’enseignement supérieur et les organismes de recherche, comme toutes les politiques publiques promues par le MESRI. L’AFDESRI se réjouit donc que suite , le chef de service de l’IGAENR se soit engagé à faire encore progresser l’équilibre femmes- hommes au sein de l‘IGAENR et de son équipe de direction.

Nous pouvons tirer deux enseignement de cette histoire :

  • premièrement, quand les femmes sont candidates et se mettent en avant dans les prises de responsabilités, les nominations « naturelles », celle des hommes qui cochent déjà toutes les cases, apparaissent moins « naturelles » ;
  • deuxièmement, ensemble et avec l’appui de l’AFDESRI, les femmes peuvent faire bouger les pratiques, même dans les institutions les plus honorables, pour y faire progresser la parité.

Mesdames ! Soyez candidates ! Unissez-vous pour faire progresser la place de toutes ! Et comptez sur l’AFDESRI pour soutenir l’accès des femmes aux responsabilités.


[i]Dominique Marchand vient d’être nommée présidente directrice générale du CNOUS.

[ii]Quatre inspectrices générales de l’IGAENR sont actuellement rectrices : Béatrice Gille, Anne Bisagni, Béatrice Cormier, Christine Gavini-Chevet.

3ème séminaire de l’AFDESRI : Femmes et pouvoir. Quelle égalité ? (2018)

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Edition 2018 

Le troisième séminaire de l’AFDESRI intitulé « Femmes et pouvoir, quelle égalité ? » s’est tenu le 19 janvier 2018 à Paris avec la participation de : Catherine Marry, sociologue et co-auteure de l’ouvrage « Le plafond de verre et l’Etat. La construction des inégalités de genre dans la fonction publique » ; les co-auteures de l’émission « l’apocalypse est notre chance », Sylvie Coquart-Morel et Sophie Mauer ; Anne Scott, vice-présidente du programme « Equality and Diversity » de l’université de Galway, en Norvège et Andrée Sursock, représentante de l’Association Européenne des Universités (AEU) sur la thématique des politiques d’égalité en France au prisme d’un regard international.

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2ème séminaire de l’AFDESRI : Egalité femmes – hommes : comment agir ? (2017)

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Edition 2017

Le second séminaire de l’AFDESRI intitulé « Va, vis et deviens ! Egalité femmes-hommes : comment agir ? » s’est tenu le 20 janvier 2017 à Paris. Si le premier séminaire a permis de dresser un état des lieux de la situation actuelle en termes de représentation des femmes à des postes de responsabilité dans différents secteurs et notamment dans l’ESR, cette seconde rencontre a mis l’accent sur les actions engagées en faveur de l’égalité femmes-hommes dans l’ESR.

En guise d’introduction, l’AFDESRI a eu l’honneur de laisser la parole à Hanne Leth Andersen, rectrice de l’Université de Roskilde au Danemark, qui s’est exprimée sur la situation et l’expérience des femmes présidentes d’Université au Danemark. A la suite de cette intervention introductive, trois tables rondes ont permis d’aborder les différents niveaux entrant en jeu dans la production d’une dynamique d’égalité femmes-hommes dans l’ESR : des politiques publiques aux associations de femmes en passant par les actions mises en place par les établissements de l’ESR et laboratoires de recherche.

Après un discours de clôture prononcé par Thierry Mandon, au titre de Secrétaire d’Etat à l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, l’engagement de l’AFDESRI aux côtés de quatre autres réseaux féminins de la fonction publique dans la Réserve citoyenne de l’Education nationale a été officialisé à travers une cérémonie de signature de la convention pour la promotion de la Réserve citoyenne.

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Séminaire local Strasbourg 2017

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2017

L’AFDESRI organise des actions hors Paris, sur différents sites universitaires.

En partenariat avec la Conférence permanente des chargés de mission égalité et diversité des universités (CPED : http://cped-egalite.fr/) et la participation de Femmes & science, elle a organisé une rencontre à Strasbourg le 24 novembre 2017. Une soixantaine de femmes doyennes, directrices d’écoles, de laboratoires, ont participé à cette première rencontre.

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1er séminaire de l’AFDESRI : Vas, vis et deviens! (2016)

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Edition 2016

L’Afdesri a tenu son premier séminaire le 22 janvier 2016 à Paris. Par-delà la présentation de l’association et de ses objectifs et la possibilité de tisser des liens entre les participants, ce séminaire avait pour but de lancer un travail de réflexion sur la place des femmes dans les instances dirigeantes.

A cette occasion, elle a réuni un ensemble d’acteurs agissant dans le champ de l’Enseignement Supérieur, la Recherche et l’Innovation mais aussi dans d’autres secteurs de l’administration ou dans les entreprises. La diversité des intervenant.e.s a permis de mettre en lumière les spécificités mais aussi les convergences en termes de représentation des femmes aux postes de direction. Le croisement des regards a nourri les questionnements abordés autour de tables rondes dessinant le constat des difficultés rencontrées par les femmes au cours de leur carrière mais aussi les formes de leviers ou d’incitations à actionner pour que celles-ci valorisent leurs compétences et leurs atouts.

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Geneviève Robida, première femme inspectrice d’académie : un combat toujours d’actualité

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Au premier rang, Geneviève Robida, inspectrice d’académie honoraire (1965-1974)
De gauche à droite : Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières, président de la communauté d’agglomération Ardenne Métropole, Didier Déleris, inspecteur d’académie, DASEN des Ardennes, Claudine Roger, inspectrice d’académie honoraire (IA des Ardennes de 1983 à 1989), Hélène Insel, rectrice de l’académie de Reims, Annie Capron, IEN A des Ardennes honoraire (jusqu’en 2007), Claude Perignon, IEN adjoint honoraire (jusque décembre 2011), président de l’AMOPA des Ardennes

 

Samedi 9 juin 2018, l’association des membres de l’ordre des Palmes académiques des Ardennes a organisé en présence d’Hélène Insel, rectrice de l’académie de Reims, un moment convivial pour fêter les cent ans d’une de ses membres, Mme Geneviève Robida. « Vous appelle-t-on Mme le recteur ou Mme la rectrice ? » Il a suffi à celle qui fut la première femme nommée « inspecteur d’académie » (bien qu’elle militât pour être appelée « inspectrice ») d’adresser cette simple question à la rectrice pour immédiatement donner à entendre et sentir la similarité des expériences et l’évolution du regard sur les femmes dirigeantes dans les cinquante dernières années.

L’étonnement est en effet de mise quand, en 1966, Geneviève Robida est nommée inspectrice d’académie des Ardennes. La presse s’intéresse rapidement à cette femme de 48 ans qui, par un concours de circonstances, vient d’entrer dans un cercle jusque-là réservé aux hommes. La directrice du lycée de jeunes filles de Charleville est à cette époque la seule parmi les personnels de direction des Ardennes à être également titulaire de l’agrégation (d’anglais en l’occurrence), et c’est donc à elle que le recteur d’académie propose d’assurer l’intérim à la tête de l’inspection d’académie des Ardennes.

L’arrêté de nomination tarde, tant il est difficile pour le ministère de nommer une femme. Pourtant, l’intérim se transformera en nomination définitive, et Geneviève Robida restera en poste dans les Ardennes pendant huit ans, avant de rejoindre l’Aisne en 1974 et de prendre sa retraite en 1978. L’académie de Reims aura entre-temps connu une autre évolution de taille, qui attirera à nouveau tous les regards : la nomination en 1973 de la première femme rectrice, Alice Saunier-Seïté. Si l’innovation d’hier semble aujourd’hui largement entrée dans les mœurs, à l’heure où les trois académies du Grand Est sont dirigées par des femmes, la difficulté pour certains à dire ou écrire à « Mme la rectrice », rend le combat de Geneviève Robida toujours d’actualité.

Hommage à Hélène Bernard

By | Itinéraires de femme

Source : Toulouse info

Hélène Bernard, rectrice de l’académie de Toulouse jusqu’en février dernier et décédée le 29 mai dernier, a reçu de multiples hommages d’hommes et femmes politiques, d’autres rectrices et recteurs, des ministres actuels et anciens de l’enseignement supérieur, de ses nombreux amis et de tous ceux qui l’ont croisée à différents moments de sa riche carrière.

L’AFDESRI tient à son tour à saluer sa carrière exemplaire et la forte personnalité qu’était Hélène Bernard.

Sa carrière de « haute fonctionnaire » peut se résumer en deux mots : mobilité et engagement.

Mobilité parce qu’Hélène Bernard a connu aussi bien l’administration centrale du ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur (comme cheffe de bureau à sa sortie de l’ENA en 1985 et bien plus tard comme directrice d’administration centrale de 1997 à 2001), que ses services déconcentrés (comme secrétaire générale d’académie à Rennes en 1993-1994 puis comme rectrice de Toulouse de 2013 à 2018), le travail en cabinet (de 1997 à 2001), la « préfectorale » (comme sous-préfète à deux reprises, en Saône et Loire de 1990 à 1993 et dans l’Yonne de 1995 à 1997 et comme secrétaire générale de préfecture en Eure et Loir en 1997), les collectivités territoriales (comme directrice adjointe des services en Rhône-Alpes de 2005 à 2012) et l’Inspection Générale de l’Administration de l’Education Nationale et de la Recherche, à laquelle elle est intégrée en 2001, mais où elle ne fait en réalité que de brefs passages tant l’action, le terrain et les responsabilités la motivent davantage.

Cette mobilité fonctionnelle et géographique exceptionnelle témoigne d’un courage, d’une audace et d’une confiance en soi qui sont un modèle pour les femmes de l’AFDESRI et toutes celles que nous encourageons à « oser ».

Ces qualités, Hélène Bernard les a mises au service de l’Etat et tout particulièrement de l’Education Nationale et de l’Enseignement Supérieur. A chacun de ses postes, elle a convaincu ses collaborateurs et tous ses interlocuteurs par sa passion imaginative, son dynamisme, son engagement sans faille au service des élèves, des lycéens et des étudiants. Pour eux, elle savait jouer de tous les leviers et sans opposer le national au local ou l’action publique à celle des parties prenantes. C’est d’ailleurs certainement dans sa fonction de rectrice qu’elle a pu le mieux réaliser la synthèse de ses expériences précédentes, des collectivités territoriales, de l’Etat central et de l’Etat déconcentré. Cet engagement qui la faisait vivre, elle l’a poursuivi jusqu’au bout, menant pendant deux ans un combat acharné contre la maladie tout en continuant à assumer sa fonction de rectrice, jusqu’en février dernier.

Car Hélène Bernard, c’était aussi un engagement physique. Grande sportive, elle avait une liberté de jugement et d’expression qui  pouvaient déplaire, même si elle forçait toujours le respect, par la vigueur de ses convictions et de son engagement.

Ses amis, vis-à-vis desquels elle était si fidèle, en témoignent : son élégance, son humour, son énergie et son rire communicatif  restent inoubliables !

Rendez-vous au cabinet de Marlène Schiappa

By | Actualités, Réseaux féminins

Rendez-vous avec le cabinet de Marlène Schiappa le 31 mai 2018, Simone Bonnafous représentait l’AFDESRI à cette rencontre

Les réseaux féminins ont été reçus par Catherine Petit, directrice de cabinet de Marlène Schiappa, Secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes le 31 mai dernier.

Après avoir souligné que « la grande cause du quinquennat » est peu visible, les réseaux féminins ont présenté leurs propositions. Les inégalités salariales dans la fonction publique ont été au cœur de la discussion : mesurer ces inégalités, en identifier les causes et agir pour les réduire ont été les revendications portées.

D’autres propositions portées conjointement par les réseaux féminins ont été présentées, notamment sur la question des viviers de femmes, des rythmes de travail, de l’articulation entre vie personnelle et vie professionnelle, ainsi que sur la perspective d’une loi « Sauvadet 2 » avec des objectifs cibles visant non seulement une progression du pourcentage de femmes dans les flux de nomination, mais aussi dans les stocks. Les spécificités de l’ESR y ont été présentées.

Première journée de formation co-organisée par l’AFDESRI et les universités du Grand Paris (GPU)

By | Formation

Première journée de formation, le 15 juin 2018

La Conférence des présidents d’université du Grand Paris et l’AFDESRI organisent un cycle de formation pour les femmes cadres de l’enseignement supérieur et la recherche.

Le 15 juin, s’est déroulé le séminaire de lancement de ce cycle de formation.

Un appel à candidature a été effectué au sein des établissements parisiens. Une trentaine de femmes universitaires, responsables administratives, vice-présidentes ou directrices adjointes ont souhaité participer à ce cycle de formation qui se prolongera tout au long de l’année 2018-2019.

Cette journée s’est déroulée à l’Institut National des Jeunes Sourds (INJS) que nous remercions pour son accueil.